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Intrication Quantique (2/4) : Les inégalités de Bell
Nhúng
- Xuất bản 10 Th08, 2022
- D'après la mécanique quantique, deux particules intriquées forment un seul et même objet physique, même si elles sont séparées par de grandes distances. Cette prédiction fut l'objet d'un débat houleux entre deux géants de la physique: Albert Einstein et Niels Bohr. Pour Einstein, l'intrication est une aberration de la théorie quantique, car elle contredit le principe de localité. Pour Bohr, l'intrication est bien réelle, et nous pousse à repenser notre vision de la réalité. Ce débat, quasi philosophique, sera mis en équation par John Bell dans les années 60, ouvrant la voie aux futurs tests expérimentaux.
Deuxième partie d'un documentaire consacré à l'histoire de l'intrication quantique.
Avec la participation de:
Alain Aspect (laboratoire Charles Fabry de l’Institut d’Optique)
Sara Ducci (laboratoire Matériaux et Phénomènes Quantiques)
Philippe Grangier (laboratoire Charles Fabry de l’Institut d’Optique)
Franck Laloë (laboratoire Kastler Brossel)
Pérola Milman (laboratoire Matériaux et Phénomènes Quantiques)
************************
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Franchement, vous faites un boulot impressionnant, un traitement parfait d'un sujet très délicat.
Bon, avant de bien comprendre tout ça, je vais devoir faire quelques visionnages.
Mon commentaire apporte peu, mais j'y tiens, car il paraît que ça aide au référencement, et ce travail mérite d'être largement diffusé !
Merci ! Au contraire, votre commentaire apporte beaucoup, c'est toujours un plaisir de lire des encouragements :-)
Toujours très heureux d'écouter Mr Aspect et impatient de voir la suite !
On apprécie vraiment votre travail ❤. C’est hyper interessant, on attend avec hâte la suite. S’il vous plaît
Merci à vous ! La suite arrive très bientôt.
Vraiment passionnant, vous arrivez à me tenir en haleine malgré les nombreuses vidéos que j'ai déjà visionnées sur le sujet.
L'attente de cet épisode a été longue mais ça valait le coup.
Les intervenants sont d'excellente qualité, les extraits originaux sont un vrai plus, les explications portées par la voix off sont très didactiques.
Bravo
Merci, vous nous faites très plaisir ! On travaille sur l'épisode 3, l'attente risque aussi d'être un peu longue, mais on espère vous apprendre plein de choses sur l'expérience d'Aspect :)
Documentaire incroyable. Merci pour le montage inspirant et le contenu tellement simplifé pour le public ❤
Merci à toi pour le commentaire !
Quelles qualités à l'œuvre ici ! Direction artistique, voix-off parfaite, bande-son, montage ! Merci et bravo à la production !!!
Merci à vous pour le commentaire ! Ça fait plaisir
vraiment de l'exellent travail.c'est la premiere fois que je pose un comentaire toutes chaines confondues.effectivement,tout est tres bien geré et l'on suit tout ca comme on suivrait sa serie preferée en attendant impatiament le prochain episode! je vous souhaite sincerement d'avoir la reconnaissace emplemet meritée a l'egal d'"e penser"
Super compliment, merci à vous ! J'espère que la suite sera à la hauteur.
Super, ça donne envie de voir la suite ! :)
Documentaires géniaux, merci beaucoup 👍🏼
Vraiment bien! Vivement l'épisode 3!
Ayant regardé les 2 premiers épisodes, je suis désormais intriqué pour la suite de cette série!🔴🙂🙃🔵
Merci beaucoup 🙂🙃 La suite sera là à la rentrée!
@Photons Jumeaux Super merci! A la rentrée donc!
Vraiment formidable! J'attends impatiemment la suite. Bravo.
Merci à vous, la suite est en préparation...
Vite la suite ! Formidable série merci
Merci à vous ! N'hésitez pas à vous abonner ;-)
@Photons Jumeaux c'est fait depuis le premier épisode ! Merci a vous
Merci pour le travail !
Très qualitatif.
La fin de l épisode 2 donne très envie de jouir de l épisode 3 !!
Top !
Vite la suite ! C’est formidable
On y travaille, merci !
Beau boulot !
Vraiment intéressant et didactique, il serait par contre souhaitable de traduire et sous-titrer les vidéos en anglais.
Merci ! Vous avez raison, il faudrait que je trouve le temps de le faire...
Je m'étais dit que si cet univers a un poids alors on peut pas changer ce poids, on peut transférer d'un point a un autre mais pas le modifier. Ca donne au moins une certaine logique a ce transfert.
C'est vraiment de l'excellent boulot ! Bravo ! Et quel cliffhanger !!
Héhé, on aime ménager nos effets... Merci beaucoup pour le commentaire !
Je me sens soudainement intelligent 😀
Merci.
Avec plaisir !
Bravo. Hyper fluide 👍
Merci ! C'est toujours difficile de trouver un rythme satisfaisant quand il y a beaucoup d'intervenants et d'informations à transmettre.
C'est bien un procédé que notre paradoxe a prouvé, il y'a des chercheurs qui procèdent par instinct, et qui se diront qu'elles ont bien dû mener quelque part.
Merci pour votre documentaire
Extrêmement bien fait.
Très pédagogique.
Je reste un peu sur ma faim en ce qui concerne la toute dernière partie
J'aimerais en effet avoir quelques informations sur la courbure qui apparaît sur le graphique.
Courbure générée par l'intrication quantique.
Merci
Merci du commentaire. Au sujet de votre question: si vous considérez un système de deux photons intriqués type (H,H)+(V,V) (c'est à dire qui ont 50% de chance d'être tous les deux mesurés avec une polarisation horizontale et 50% de chance d'être tous les deux mesurés avec une polarisation verticale lorsque les deux polariseurs sont parallèles), alors d'après la mécanique quantique, on peut démontrer que la probabilité d'avoir une corrélation entre les détecteurs lorsque les polariseurs ne sont plus parallèles vaut cos^2(A) (le carré du cosinus de A), A étant l'angle relatif entre les deux polariseurs. Si vous faites un peu de maths et que vous voulez les détails du calcul, vous pouvez jeter un coup d'oeil à cette page (feynman.phy.ulaval.ca/marleau/pp/03epr/epr_2/epr_2.html)
@Photons Jumeaux grand merci pour votre retour. C'est vrai que cela m'interroge dès que je vois une courbure dans cette physique théorique et observationnelle
J'irai lire le lien sur Feynman( j'avais un niveau Deug scientifique).
Super série
Super intéressant. Clair. Très bien fait.
Etrange pronciation par la présentatrice du nom "Niels Bohr", vers 0:12 et plusieurs fois après...
Vidéos passionnantes, mais les sous-titres pour les quelques extraits en anglais auraient été un +.
Vous avez bien raison, il faut qu'on s'en occupe.
Bravo Hugo ❤️🔥
Punaise, vidéo vraiment très bonne !
Merci !
En examinant le papier de Bell, il fait l'hypothèse qu'on a effectivement des mesures binaires +/-1 en sortie de Polariseurs or voyez cette vidéo, vnclip.net/video/JTPnXA_ADHg/video.html, ce n'est pas possible si la physique est locale, ne faudrait il pas remettre en cause le fait qu'on a des mesures binaires plutôt que la localité comme le suggère la video?
Magnifique 😍
Merci beaucoup !
c'est un bonbon cette série
On est content que ça vous plaise !
La musique, le ryhtme du cheminement... ça respire le travail monstre mais c'est incroyablement bien géré ! J'en veux plus !
La chaîne n'est pas l'auteur du reportage
Si, si. Les auteurs de la série sont bien les créateurs de la chaîne ;-)
Mais c’est quoi cette chaîne.. jamais vue une qualité pareille!!!! Svp continuez !
Merci beaucoup ! On continue ne vous en faites pas...
Je reviens sur le débat de mon précédent message. A l'émission, les deux photons ont la même polarité, mais elle est inconnue. L'expérience semble montrer que la mesure, qui force le photon détecté en premier à prendre la polarité horizontale ou verticale, affecte de manière instantanée le 2ème photon qui prend alors la même polarité que le premier, donc comme s'il avait été mesuré.
Sauf erreur de ma part, ce qu'il y a d'étonnant, ce n'est pas que l'on mesure HH ou VV pour les deux photons, puisque l'on sait qu'ils ont la même polarité à l'émission, c'est que la mesure du premier photon détecté oblige le 2ème photon à prendre la même polarité que le premier, avant même qu'il soit mesuré. Ce qui équivaut à dire, suivant la mécanique quantique, que la mesure d'un des deux photons est équivalente à la mesure simultanée des deux photons, qui sont alors forcés de prendre une polarité, en l'occurrence la même. Par conséquent, on peut voir les deux photons, quand bien même séparés par une grande distance, comme un seul photon.
Mais cela pose une question, si la polarité du 2ème photon est déterminé par la mesure du premier, comment le savoir avant de le mesurer ?
Bonjour si cela peut intéresser qui que ce soit je l'écris. Si l'on reprend l'analogie du lancer de pièces en regardant autrement ce qui ce produit. Il faut alors imaginé que le polariseur soit la main sur la quelle la pièce chute et le détecteur comme l'instant où la pièce est dévoilée. De la si les pièces sont lancés exactement de la même façon et atterrissent exactement sur le même support. Je suis simplement amateur et passionné l'idée me vient sur l'instant merci a ceux qui prendront temps de lire et répondre ( sérieusement si possible)
Merci beaucoup
série phénoménale, voilà.
Merci beaucoup !
La suite svp vite vite🥺🥰
Il faudra attendre la rentrée :-)
Vidéo très intéressante et instructive. Ce qui est dommage, c'est d'ignorer l'apport des autres civilisations notamment de l'Égypte antique (Négro-africaine) dont les prêtes ont été ceux des grecques. on dira bientôt que même la vie a démarré avec vous les occidentaux.
Encore une vidéo de qualité, bravo !
2 questions:
Y-a-t-il eu un ouragan dans le bureau d'Alain Aspect?
Pourriez-vous expliquer ce qu'est un photon? Je n'ai rien trouvé de correct. Comportement, propagation du photon dans l'espace (dans une seule direction ou dans toutes les directions?), vie et mort d'un photon...bref ! Tout quoi !
Bonjour, merci pour le commentaire!
Aspect assume complètement le bazar organisé de son bureau. C'est assez drôle de comparer à celui de Grangier...
Pour ce qui est du photon, c'est difficile d'aller au delà de la définition simple de : "particule de lumière". Un physicien dirait plutôt "excitation élémentaire du champ électromagnétique"; cela signifie que le photon est une sorte de "paquet" d'énergie lumineuse qui ne peut pas être découpé en paquets plus petits. Mais comme toutes particules quantiques, ce "paquet" n'a pas de position définie tant qu'il n'est pas mesuré (cf épisode 1). La représentation sous forme de petites "boules" de lumière est donc assez fausse, mais aide à comprendre. Même chose pour la "vie et la mort" des photons, il faut faire attention à l'anthropomorphisme. Je dirais que les photons sont un peu comme de la monnaie : ils sont un vecteur d'échange d'énergie entre des particules de matière qui interagissent via un champ électromagnétique (par exemple, deux charges électriques qui s'attirent)
Je ne sait pas si je vous ai éclairé ou embrouillé^^. Le problème avec la vulgarisation de la physique quantique, c'est que le langage de tous les jours manque de vocabulaire pour décrire ces objets qui échappent complètement à notre expérience du quotidien. Si on veut être plus précis, il faut rentrer dans les subtilités du formalisme.
@Photons Jumeaux Merci. Il est vrai que transformer des mathématiques en language de tous les jours, reste un exercice compliqué. Et comme je ne suis simplement qu'un passionné, cela restera toujours difficile à capter. Je vais rester sur ma vision, certainement erronée, d'un photon.
Gavage 👍
Ils ne sont pas jumeau les photons . C'est plutôt Janus : un unique photon double face et doué d'ubiquite
Quelque chose m'échappe (5:45), si les deux photons émis ont la même polarisation, alors quand bien même l'état du système, constitué des deux photons, serait indéterminé, à savoir HH ou VV, on aura HH ou VV comme résultat au niveau des détecteurs. Merci de m'expliquer.
Bonjour, je ne suis pas certain ce comprendre votre question. Si vous vous demandez si la mesure donne bien, par exemple, HH au niveau des détecteurs, la réponse est oui. Mais la question qui perturbait Einstein et qui fait encore débat est de savoir quelle est la valeur de la polarisation des photons AVANT la mesure. Deux visions s'affrontent: 1) D'après la mécanique quantique (interprétation de Copenhague), cette valeur n'"existe pas" encore: l'indétermination est intrinsèque au système. 2) D'après Einstein, l'indétermination vient uniquement de nous, et de notre absence de connaissance du système (la valeur de la polarisation existe, mais nous est encore inconnue).
Merci pour votre réponse. En visionnant la vidéo, je comprends que les deux photons intriqués (ou jumeaux) ont la même polarité, H ou V, et que c'est le fait que la mesure de la polarisation des deux photons donne HH ou VV, autrement dit que l'on constate que les photons ont la même polarité, qui pose problème. Ce qui n'a rien d'étonnant, bien évidemment, d'où ma question pour comprendre ce qui m'a échappé.
A votre réponse, je comprends que les deux photons intriqués ont toujours la même polarité, et que Einstein était perturbé par le fait, selon la mécanique quantique, de ne pas pouvoir connaître la polarité des photons avant la mesure. Si à l'émission des photons intriqués, leur polarité est identique mais inconnue, soit H, soit V, qu'est ce que cela a d'étonnant à ne pas pouvoir la connaître avant la mesure ?
Maintenant si selon la mécanique quantique, la valeur de la polarité des deux photons n'existe tout simplement pas avant la mesure, cela veut dire qu'avant la mesure les deux photons sont sans polarité. Ce n'est pas clair pour moi.
Oui, d'après la mécanique quantique, la valeur de la polarisation des photons n'est pas définie avant la mesure: cette valeur n'existe pas encore. Mais attention: ce n'est pas exactement la même chose de dire que les photons sont "sans polarisation". Ils "ont" bien une polarisation, mais la valeur de celle-ci n'est pas encore déterminée.
C'est cela qui perturbait Einstein, pour qui toute propriété (comme la vitesse, la position, la polarisation) possède nécessairement une valeur déterminée, indépendamment d'une mesure.
Je comprends bien cela. Mais qu'est ce qu'il y a d'étonnant à ce que la mesure des deux photons donnent le même état de polarisation, puisqu'ils sont dans le même état de polarisation à leur émission par l'atome excité ?
@Fabrice Solaris Ce qui est étonnant, c'est que les mesures de polarisation sur les deux photons donnent les mêmes résultats, malgré le fait que cette polarisation soit indéterminée jusqu'au dernier moment. Autrement dit, les photons "savent" qu'ils ont la même valeur de polarisation, mais ils ne "savent pas" quelle est cette valeur: ils "choisissent" au dernier moment, lorsqu'ils rencontrent l'appareil de mesure, et leurs choix sont toujours corrélés, quelque soit la distance que les sépare. Ce type de corrélations dites "non locales" n'a aucune équivalence en physique classique.
Ce qui m’interloque toujours dans c’est description de la mécanique quantique , c’est que l’on parle toujours de particule que l’on ne sait pas concretement observé : on n’a encore jamais vue une photo, image, video -d’une- ( seule et unique ) particule (photon, proton, neutron, electron, quark, boson etc....) (ce qui est d’autant plus vrai pour les epoque raconté ici) alors comment on fait pour observer tel ou tel phénomène ??? Encore plus interloquant : comment est on sur que l’on manipule et mesure -une seule et unique- particule ??? Ca tombe ils en manipule plein sans s’en rendre compte et du coup fotcement ca embrouille l’histoire. Aussi toute c’est histoire de 2 état différent en meme temps c’est pas bien compliqué finalement pourquoi les documentaires ne s’aventure jamais dans les formules, les calculs pour illustrer un peu mieux la complexité de la chose ?
Bonjour. Je ne pense pas que la difficulté conceptuelle de la mécanique quantique est liée à l'observation d'objets individuels. La vrai difficulté porte plutôt sur la nature des objets AVANT la mesure, qui est très bizarre (superposition, dualité onde-particule, etc). En réalité, on sait manipuler et observer des particules uniques depuis un petit moment. Voir par exemple, cette très célèbre photos d'un ion unique piégé (hitek.fr/actualite/scientifique-parvient-photographier-atome-isole-stontium_15429). Par ailleurs, à l'époque des expériences d'Aspect, la technologie de détection de photons individuels était déjà bien au point. Quand aux équations, elles sont plus ou moins représentées schématiquement dans les animations de cette vidéo, mais je ne suis pas certain qu'elles apportent beaucoup de clarté. Par exemple, un photon qui est dans une superposition d'état entre un état de polarisation Horizontal (H) et vertical (V) s'écrira mathématiquement "A*(H)+B*(V)", (A et B sont des coefficients sans importance ici). Que signifie cette équation ? Et bien la seule chose qu'on puisse vraiment dire, c'est qu'une mesure de polarisation sur ce photon donnera aléatoirement soit (H), soit (V), mais au delà, l'équation ne nous éclaire pas beaucoup, car on ne sait pas exactement ce que signifie ce signe "+". Est-ce que ça signifie que le photon est vraiment dans deux états "en même temps" ? Ou bien dans aucun des deux états?
L’explication d’Alain Aspect sur le fait que l’on ne peut déterminer la polarisation du photon qu’une fois passé par le polariseur, me parait bien simpliste, car même si c’était le cas, elle n’invalide pas non plus le fait que le photon ait pu avoir cette même polarisation avant même la mesure du polariseur c’est-à-dire dès sa création.
D’autant que le polariseur peut tout à fait n’avoir aucune influence sur la determination de la polarisation du photon.
Le polariseur est utilisé comme « centre de tri de polarisations » mais je pense qu’en fait chaque paire envoyée vers le polariseur possède des propriétés propres à cette paire de photons. Dans le sens ou la paire de photons issue de l’intrication peut parfaitement provoquer un phénomène de gel de l’etat des dits photons. Donc ils sont dans un état different que celui de photons non-intriqués.
Ma théorie c’est qu’un photon est composé d’un corpuscule qui émet sa propre onde grossissante jusqu’a plusieurs milliers de fois le diamètre du corpuscule et rétrécissante jusqu’au diamètre minimal du corpuscule, ceci plusieurs millions de fois par seconde.
Si les photons sont intriqués de manière identique, exemple: a) ils sont figés avec une onde rétrécie ou nulle, alors ils passeront tous les deux à travers le polariseur (à travers les mailles de l’obstacle) et b) si l’onde des 2 photons intriqués est grosse, les photons ne passeront pas le polariseur et seront réfléchis.
Donc le tri ne se fait probablement pas par la polarisation mais par la volumétrie figée des photons. Chaque paire de photons pouvant etre figée différemment d’une autre paire.
Donc en résumé un photon naturel non-intriqués à une volumetrie fluctuante, et une paire de photons artificiels (car intriqués) a une volumétrie gelée
Bonjour. Votre description tombe sous le coup du théorème de Bell: cette propriété "fluctuante" que vous décrivez reste une variable cachée locale. Donc si votre mécanisme était à l'oeuvre dans l'expérience, on devrait observer une non-violation des inégalités de Bell. Or toutes les expériences montrent que ce n'est pas le cas (cf épisode 3).
@Photons Jumeaux ,,,,,pas exactement, car l’expérience est censée montrer un « hasard » quantique, or il est « démontré » uniquement par la statistique, pas par une expérience unique mais des milliers d’expériences consécutives.
Ce que j’explique c’est que l’on trouve cette même probabilité si l’on considère que c’est le photon lui-même qui varie de manière aléatoire en permanence, sa cinétique est en permanence aléatoire puisque dans ma théorie sa volumétrie varie plusieurs millions de fois par seconde, donc quand vous prenez la mesure de sa position ou du franchissement ou non des polariseurs vous avez FORCEMENT une mesure aléatoire, incontrôlable, et ce n’est qu’en multipliant les données que l’on peut déterminer que ce hasard n’est pas si aléatoire mais intrinsèque au photon. Et oui, effectivement c’est bien une variable cachée locale, Einstein avait raison.
Si vous avez mille femmes dans une clinique qui vont toutes accoucher de jumeaux dans la journée, et qu’aucune n’a fait d’échographie, si vous pariez sur le sexe des jumeaux de la première femme qui accouchera, vous avez 33,33% de chance d’avoir raison (1 garcon + 1 fille, ou 2 filles, ou 2 garçons), on parle de « hasard » alors qu’avoir statistiquement raison 1 fois sur 3 relève de la chance pas du hasard, car le hasard par définition qualifie un phénomène rare et difficilement reproductible même volontairement.
Mais si vous faites la statistique des sexes des 2000 nouveaux-né(e)s, le « hasard » s’effondre, vous aurez environ 50% de garçons et 50 % de filles. Et bien le prétendu « hasard quantique » c’est cela, une illusion de hasard car en fait le photon varie en volume (gros volume de l’onde = garçon, petit volume de l’onde = fille) et comme la rythmicité de l’onde est totale, au moment de prendre la mesure soit l’onde sera grosse soit elle sera petite. Et sur des milliers de photons ce sera 50% 50%. Pourquoi ? Parce que dans l’analogie de l’accouchement c’est la nature même de notre adn, de nos chromosomes, et de la procréation du vivant en général qui régit la statistique, cela n’a rien à voir avec le hasard, fusse t-il quantique. De même, le photon a sa propre nature intrinsèque.
L’erreur de raisonnement est de considérer qu’il n y aurait aucune explication physique au fait qu’un photon puisse varier de charge de manière indéterminée. C’est faux, le photon varie de volume en permanence, sauf quand il est intriqué avec un autre photon, là leurs ondes se figent dès leurs émissions, mais toujours de manière aléatoire, incontrôlable, car nous n’avons aucun moyen d’agir sur TOUTES les propriétés physiques des photons, en clair on ne sait pas si l’atome de calcium va émettre deux « filles » ou deux « garçons », et on n’a aucun moyen d’influencer cette émission
@Photons Jumeaux ,,,,. ,,,, l’erreur est de ne pas avoir compris que peu importe le sens des polariseurs puisque ce qui compte est la largeur des mailles et non le sens des mailles du polariseur, car si le photon a une onde variable en volume (figée lorsque son photon est intriqué avec un autre, et fluctuante quand il n’est pas intriqué) alors ce qui compte est la taille de son onde au moment où il se présentera au contact du polariseur (donc lors de la mesure). Si le diamètre maximal de l’onde est de 100, vu que l’on fait des milliers de bombardements, la moyenne de diamètre de ladite onde sera de 50. Donc 50% des photons auront une onde inférieure à 50 de diamètre, et 50% auront un diamètre supérieur à 50. Si les photons intriqués ont des volumes d’ondes figées, alors les deux photons peuvent avoir un diamètre supérieur ou inférieur à 50. Si les mailles du polariseur font 50 de diamètre, vous aurez bien une chance sur deux à chaque bombardement de 2 photons intriqués que ces photons franchissent tous les 2 le polariseur.
La deuxième faiblesse de la théorie de l’Ecole de Copenhague est de ne pas avoir envisagé que le photon puisse ne pas être uniforme, mais évolutif, et singulier au moment de la mesure.
@Aurelien Martineau L'expérience d'A. Aspect n'est pas de montrer un hasard quantique, ce qui n'a aucun sens car si le hasard n'existe pas vous pourrez le démontrer mais pas le contraire.
Son expérience nous confirme encore une fois et de manière encore plus précise que les inégalités de Bell sont violées. Cela signifie donc que la paire de photons intriqués et qui va être mesurée ne peut en aucune manière possédée ne serait ce q'une variable cachée locale. Il y a certainement une explication mais je pense q'on ne pourra pas la trouver avec nos cerveaux fonctionnant de manière classique. Il faudrait que l'on soit équipé de cerveaux quantiques.
@NightFlyght ,,, l’expérience d’Alain Aspect a pour but de démontrer que deux particules intriquées n’ont pas de propriétés déterminées dès leurs émissions, et que d’une certaine façon c’est la particule qui décide de manière aléatoire au dernier moment de ses propriétés sans que nous puissions influencer ces dernières. C’est une interprétation que je trouve simpliste, car si le photon est potentiellement protéiforme, thèse que je défends, ceci dès son intrication et la fixation de son onde, alors les seules propriétés aléatoires dudit photon ne résident que dans sa volumétrie qui lui permettra ou non de franchir les obstacles (polariseurs, lames semi réfléchissantes), et comme il est impossible de fixer par la manipulation humaine cette volumétrie, il l’interprète comme étant la preuve d’un hasard quantique. Sauf que cette interprétation est erronée, dans la mesure où dans le cadre d’un vrai hasard, les probabilités (au bout de milliers de tests) pour que deux particules intriquées aient des propriétés similaires à distance ne devraient jamais être prévisibles, or ce n’est pas le cas. Le hasard n’est pas probabiliste
Si ce quantique est d'une formulation donc, il débouché d'une logique, si ce n'est pas le cas, tout est utopique.
L'intrication quantique c'est le stade de l'énergie de l'échelle de max Planck dont les lois de physiques de quantification ne sont que les unités naturelles de Planck .Quant a la mesure directe de cette énergie phénoménale ,a mon point de vue elle échappe a la science expérimentale et si la science arrive a inventer un detecteur qui signale sa présence d'une manière phonique ou autres ,ça c'est extraordinaire et fantastique . Après ce stade d'énergie phénoménale ,il existe un autre stade d'énergie de la physique de toutes les physiques du phénomène de la gravité et l'antigravite' dont la subtilité est le Top extrême .
Pourquoi n'avez-vous pas mis de sous-titre en français lors du passage en anglais (1:27) ?
C'est prévu. Quand la série sera terminée on travaillera sur les sous-titres
Oooh le teasing par celui-là même qui a fait ces expériences ! :)
Eh oui, il a l'art du cliffhanger...
Pourquoi, etant donné qu'il n'y a que deux polorisations du photon, y a til >2 positions du polariseur ?
Il n'y a pas que deux polarisations possibles du photon: il y a deux voies de sorties possible au polariseur. Les résultats possibles dans une mesure de polarisation sont "photon réfléchi" ou "photon transmis". Si le polariseur est horizontal, alors "photon transmis" signifie que le photon a été mesuré dans un état horizontal, et "photon réfléchi" signifie que le photon a été mesuré dans l'état perpendiculaire, c'est à dire vertical. En revanche, si le polariseur est orienté (par exemple) de 30° par rapport à l'horizontal, alors "photon transmis" signifie que le photon a été mesuré dans un état à 30° de l'horizontal, et "photon réfléchi" signifie que le photon a été mesuré dans un état perpendiculaire, c'est à dire à 30°+90° = 120° de l'horizontal.
si on sépare 2 photons, qu'on envoie l'un à l'autre bout de la terre en imaginant que l'un sera transmetteur et l'autre receveur, qu'on force le transmetteur à être dans un état et ça des milliers de fois de façon à créer une combinaison d'états (un message) est-ce que le photon receveur (à l'autre bout du monde) recevra le message ?
Bien tenté... mais non! On ne peut pas "forcer" la polarisation à adopter un état, puisque le résultat d'une mesure est toujours aléatoire, donc incontrôlable. De plus, il faut avoir en tête qu'à chaque mesure sur une paire de photon, les particules sont détruites. Il existe des protocoles de communication et de cryptographie quantique (cf épisode 4/4 qui sortira dans quelques mois) mais aucun ne permet d'envoyer de l'information plus rapidement que la vitesse de la lumière.
@Photons Jumeaux merci pour la réponse 🥰 hâte de voir la suite
Pour moi, l'intrication quantique montre le lien invisible de deux particules de matière qui se complètent pour être unit dans l'espace et dans le temps (à un temps donné, prouvant que la matière existe et que les règles physiques expliquent) dans une matrice où les règles physiques n'existe pas. Chaque physiciens apportant leur angle de vue mais ne sachant pas comment imbriquer, interpréter les résultats. C'est une preuve de l'immatérialité !
Qui n'a pas été sujet à des effets quantiques ?
Les dromadaires ont une bosse et les lamas n'ont pas de bosses.. comment reconnaître un bébé lama d'un bébé dromadaire.... à la fourrure ??
Le lama c'est le positron...✨🌟
Le dromadaire c'est le neutrino... avec ses intrications...🌱🌿💦💧💙
Le chameau c'est l'électron... l'expert du feu.🔥☀️🌞♥️
15:43 "une propriété dès le départ" => "une propriété *fixe* dès le départ" !
Si vous voulez. Mais une formulation vraiment rigoureuse serait : "une propriété dont la valeur est fixée dès le départ"
trop court, pourquoi découper en 4 parties ? 😢
Contradiction apparente entre 6:17 et 6:51 ? Je cite à 6:13 ''Les photons jumeaux ont la même polarisation mais cette polarisation est indéterminée'' C'est à dire soit HH ou bien VV, mais on ne le sait pas...
À 10:12 Alain Aspect dit ''En variables cachées la polarité est déterminée dès le début''. Donc ce qui est dit à 6:17 est inexact les variables cachées n'existent pas. Maintenant cela semble plus clair.
Bonjour. Je ne comprends pas bien votre question: pourquoi ce qui est dit à 6:17 est inexact? On ne parle pas de variable cachée à ce moment là.
=D
Que les photons soient intriqués ,correlés ca ok c est prouvé ,mais je ne vois pas en quoi la localité serait brisée ,polariseur ou pas ...pourriez vous vulgariser un peu plus ? en gros la mesure est correlée .soit. ils reagissent pareil soit et alors ?
Le début de la vidéo numéro 3 résume la problématique.
Dans l'interprétation "standard" de la mécanique quantique, la mesure "créée" la propriété (ici la polarisation) dans le sens où l'observation "force" la propriété à adopter une valeur. Dans un système intriqué, lorsque l'on mesure l'état de la particule 1, on la "force à choisir" un état, mais on "force" également la particule 2 à "choisir" le même état, au même moment. Tout se passe comme si il existait une sorte d'action non-locale (à distance) de l'appareil de mesure 1 sur la particule 2.
Ce que vous dites est improuvable, le fait que l’autre photon soit de charge différente ou similaire au premier ne veut pas dire que l’un change de charge à distance en fonction de l’autre, tout simplement parce qu’il faudrait constater ce changement, or une fois que vous avez mesuré le premier il ne peut en aucun cas changer de charge si l’on détermine la charge de l’autre plus tard. Cela veut dire que les charges étaient forcement déterminées dès leurs émissions.
@Aurelien Martineau alors pourquoi dit on qu einstein avait tord ? ou se trouve la soi disant violation de la localité ?
@martial cardot
*ou se trouve la soi disant violation de la localité*
Dans le fait que l'action sur un élément A se répercute immédiatement sur un élément B distant, sans lien matériel avec l'élément A, en gros. En faisant abstraction de l'aspect aléatoire, et pour faire le focus sur la non-localité uniquement, c'est comme si j'avais une lampe entre les mains, et qu'à l'autre bout de l'Univers se trouvait une lampe similaire, mais non reliée matériellement à la première et que si j''allumais ou éteignais la première, la deuxième s'allumait et s'éteignait également et immédiatement, de manière coordonnée.
Je comprends rien. Corrélation ou variable caché sont les deux pièces de l'intrication que je perçois par défaut comme la manifestation d'un esprit qui serait la matrice de toute matières pour être dérivant de la conscience. Niels Bohr à raison et Einstein n'a pas tord. E=AC2 !
La propriété d'une paire de gants est associé aux 2 gants quand une infini distance ne peut les dissocier. E=AC2 constitue la loi de cet esprit.
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Pas de sous-titrage en français despassages en anglais. Dommagge, ça m'empêche de regarder toute la vidéo.
Toutes nos excuses, on s'occupe du sous-titrage dès que l'on aura terminé la quatrième partie.
Je plussois Eralp Şirincan
dsl, mais c'est penible les passages en anglais, navrés mais je ne suis pas bilingue
Désolé, on va sous-titrer ces passages, promis
la quantique c est une religion...